Nous vous proposons cette vidéo animation 3D sur la folle épopée d'un spermatozoïde jusqu'à l'ovule et sa nidation!

Le récit est digne d'un roman d'aventure!!!

http://www.youtube.com/watch?v=HTfEshpLikE

Voici une vidéo de 2 minutes sur la fécondation in-vitro et le transfert d'embryons : 

http://www.youtube.com/watch?v=Atl9UW07xs8

Dire à un enfant qu’il est né grâce à la procréation médicalement assistée est une option des parents dont les effets concernent tant les parents que les enfants.

Après avoir conçu un enfant par procréation médicalement assistée, les parents peuvent ressentir des doutes: «Devons-nous dire à notre enfant qu’il est né grâce à la procréation médicalement assistée? Comment cela va-t-il l’affecter? À quel âge et comment peut-on lui dire?». En Espagne, il n’est pas obligatoire de révéler l’origine de la conception de l’enfant et les parents peuvent choisir de lui dire ou pas.

S’ils décident de ne pas le faire, les experts recommandent alors de faire attention lors de la communication de cette information à d’autres membres de la famille afin d’éviter que l’enfant ne l’apprenne par d’autres que ses parents. Selon le psychologue français Serge Tisseron, auteur du livre Le mystère des graines à bébé, «l’enfant risque de ne plus faire confiance à ses parents si quelqu’un d’autre lui apprend qu’il n’a pas été conçu de manière naturelle».

Si, au contraire, ils décident de lui dire, il faut tenir compte de plusieurs facteurs: Comment le faire et à quel moment? Quelles seront les réactions de l’enfant du fait de connaître la vérité sur ses origines? Plusieurs études en ont fait l’analyse.

Quand le dire aux enfants?

Selon les experts, il y a deux moments clés où l’enfant est plus réceptif lorsqu’il s’agit de comprendre ses origines. Le premier se situe entre 3 et 5 ans, quand il commence à se demander comment il est venu au monde. Certains parents considèrent que c’est le moment le plus adéquat car l’enfant peut assimiler son histoire d’une manière plus simple. C’est la «plantation de la graine»: puisque l’enfant connaît et comprend ses origines depuis petit, il a l’impression de le savoir «depuis toujours», raison pour laquelle il ne se posera pas de questions plus tard.

Le deuxième moment clé se situe entre 10 et 12 ans avec les premières leçons d’éducation sexuelle, lorsque l’enfant comprend comment se produit la grossesse. C’est alors qu’on peut lui expliquer pourquoi il n’était pas possible de le concevoir de manière naturelle, avec une approche plus adulte. Selon les études, c’est la stratégie du «moment adéquat», car on profite du fait que l’enfant apprend des thèmes en relation avec la vie, les relations sexuelles et la conception.

Les études soulignent l’importance de ne pas attendre qu’il ait atteint l’adolescence, à partir de 13 ans, début du processus de formation de la personnalité et pendant laquelle l’apport de cette information pourrait avoir un effet négatif.

Quelles histoires peuvent aider à le dire?

Pour les petits, les fables ou les contes sont le meilleur moyen de leur raconter l’histoire complexe de leurs origines. Selon Tisseron, «plus un sujet est difficile à aborder, plus il est important de l’aborder de biais. Les fables et les contes introduisent le sujet au rythme de l’enfant et les parents peuvent alors lui expliquer sans avoir à raconter leur histoire personnelle».

Bien sûr, il existe de nombreuses façons de le dire et il s’agit de trouver celle qui conviendra le mieux selon la manière d’être de l’enfant, son caractère et ses besoins. «Certaines de nos patientes utilisent leur passe-temps pour le raconter à leurs enfants», affirme Laura Venereo, psychologue d’Eugin. «Celles qui aiment la photographie utilisent ce moyen pour l’expliquer. D’autres, aimant l’écriture, écrivent un journal qui servira ensuite à expliquer à leur enfant comment il a été conçu», affirme-t-elle.

Implications pour les parents

Décider s’ils le diront ou pas aux enfants est une décision très importante pour les parents. Plus ils seront sûrs d’eux et plus ils en auront parlé avant avec leur partenaire ou avec des psychologues, plus il leur sera facile d’en faire part à l’enfant.

«Chaque famille est différente et chaque enfant l’est également», explique la psychologue. «Comment informer l’enfant est une décision pouvant s’appuyer sur la curiosité de l’enfant et les questions qu’il souhaite formuler, sans toutefois lui donner trop d’information pour qu’il puisse construire lui-même sa propre histoire», conclut-elle.

L' adoption, c'est avant tout donner une famille à un enfant qui en est privé, un enfant né ici ou ailleurs, un enfant tel qu'il est dans la réalité de son histoire personnelle, de son état de santé, de ce qu'il a vécu depuis sa naissance.

Si l'adoptabilité de l'enfant a été prononcée, c'est que cet enfant a vécu une séparation, celle d'avec sa famille biologique; son histoire est donc particulière.

" S'il n' y a pas de droit à l'enfant, chaque enfant a droit à une famille"

Adopter un enfant, c'est l'accepter tel qu'il est et non tel qu'on le souhaiterait qu'il soit.

Nous vous présentons les étapes à suivre pour une procédure d'adoption :

1 - Ecrire une lettre de demande d'agrément en vue d'une adoption auprès des services du Conseil Général de votre département.

2 - Dans les 2 mois suivant, une réunion d'information vous sera proposé par le Conseil Général. Cette réunion n'est pas obligatoire mais il est préférable de s'y rendre car elle est très instructive et répond aux attentes des couples suivant cette démarche. Suite à cette réunion, un dossier vous est remis pour une confirmation de la demande d'agrément et la constitution du dossier définitif.

3 - Dans le courant des 9 mois, des entretiens avec une psychologue et assistantes sociales sont mises en place pour analyser l'environnement et les besoins du couple adoptant.

4 - Suite aux investigations sociales et psychologiques, le dossier passe en commission d'agrément à la Préfecture. Le Préfet décide si le couple adoptant est apte à recevoir un enfant. 

5 - L'agrément est valable 5 ans en le renouvelant chaque année à date anniversaire de l'obtention de l'agrément.

Si vous n'arrivez pas à visualiser les vidéos, copier le lien et collez le dans la barre de navigateur.

Nous vous prorposons de regarder cette publicité qui ne manque pas d'humour. 

www.youtube.com/watch?v=19wUpr0Q_lk

Un couple a besoin de notre aide pour concrétiser leur projet de Procréation Médicale Assistée en Espagne par le don d'ovocytes qui est prévu pour fin Octobre.

Notre association a pour but de les aider dans leur démarche en récoltant des fonds afin qu'il puisse avoir accès à cette aide médicale.

Nous sollicitons toutes personnes voulant participer à leur futur bonheur.

Si vous souhaiter faire un don, vous pouvez l'adresser au Lieudit Cammas 82600 AUCAMVILLE ou nous contacter par mail : pourunpetitboutdechou@gmail.com

Un reçu vous sera adresser en retour pour la déduction d'impôts.

Pour plus d'information : Rendez vous sur pourunpetitbout.canalblog.com

Nous vous remercions par avance de votre geste

Le traitement par don d’ovules est l’une des techniques de procréation médicale assistée ayant la plus grande probabilité de succès.

Les ovules de la femme sont des cellules fascinantes et complexes, tout en étant extrêmement délicates et sensibles au passage du temps. De manière naturelle, les ovules perdent peu à peu leur capacité reproductive par un processus irréversible qui s’intensifie normalement à partir de 35 ans.

Il y a quelques années, ce fait biologique marquait la fin de l’espoir de maternité. Mais aujourd’hui, les progrès des techniques de procréation médicale assistée ainsi que la solidarité de nombreuses femmes anonymes permettent de réaliser le rêve d’être mère.

La Clinique EUGIN fait tout son possible pour utiliser les propres ovules de la femme. Cependant, si ce n’est pas possible ou si ce n’est pas recommandé, il est possible d’obtenir la grossesse souhaitée grâce à l’aide d’une autre femme.

La fécondation in vitro avec des ovules de donneuse est une technique qui est généralement recommandée si la femme a plus de 43 ans. À cet âge, les probabilités de grossesse avec ses propres ovules sont très faibles et, de plus, ces ovules n’ayant plus une bonne qualité font qu’il existe de plus grands risques d’avortement ou de problèmes pour le fœtus.

Cette technique est également recommandée dans d’autres cas –indépendamment de l’âge de la femme– comme la présence d’une maladie génétique, une anomalie chromosomique ou une pathologie qui empêche la stimulation des ovaires. Six femmes sur dix parviennent à être enceintes grâce à cette technique de procréation médicale assistée.

Donneuse et receveuse: un traitement adapté à chaque femme

La réception d’ovules se divise en deux étapes qui peuvent être réalisées d’une manière parallèle ou programmée. L’une des étapes est le traitement pour la femme receveuse des ovules afin de préparer l’endomètre et l’autre est la stimulation des ovaires et l’obtention des ovules de la donneuse.

Aujourd’hui, grâce au développement de la congélation d’ovules, la femme pourra recevoir les ovules récupérés directement d’une donneuse ou bien ceux récupérés au préalable puis congelés. Dans les deux cas, les probabilités de grossesse sont comparables et très élevées.

À la clinique Eugin, les deux options de traitement sont disponibles et permettent une plus grande flexibilité pour s’adapter aux besoins des receveuses et à la disponibilité des donneuses. La receveuse pourra opter pour la forme de traitement s’ajustant le mieux à ses besoins. Dit autrement, il y a des femmes qui, en raison de leur situation de travail ou personnelle, ont besoin de programmer leur visite à la clinique longtemps à l’avance. Dans ces cas, les ovules congelés constituent une bonne solution, parmi d’autres. Afin d’obtenir la plus grande ressemblance entre le futur enfant et son environnement familial, la donneuse des ovules devra avoir les mêmes caractéristiques physiques que la receveuse: race, taille, teint de peau, couleur des cheveux et des yeux.

Un traitement simple

La future mère va à la clinique pour une première visite avec le médecin et pour une évaluation du type de traitement le plus adéquat. Après la décision, elle peut commencer le traitement depuis son lieu de résidence.

La deuxième visite a lieu entre deux semaines et 45 jours après le début du traitement. C’est alors que l’embryon ou les embryons sont transférés à l’utérus de la femme. En cas d’implantation, la grossesse suivra son cours de la même façon qu’une grossesse naturelle.